Amrak amena son frère, à l'hôpital pour que ses blessures soit réellement soigné, il entra donc dans l'immense bâtiment tout blanc, dès qu'ils franchirent la porte, tout deux faillirent vomir, leurs odorats sur développé en prenait un coup dans cette endroit qui sans vraiment pas bon. C'est l'endroit que Karma déteste le plus, déjà cette odeur, mais le pire c'est de voir tout ses malades, sa lui fait froid dans le dos de venir ici, et si il y a bien une personne qui ne mangera pas c'est les médecins et infirmiers, qu'il respect énormément.
Karma fut amené à l'accueil et examiné rapidement, il n'y avait pas de réel danger et c'est pour sa qu'il resta une heure et demie assis sur une chaise ma foi pas confortable. Il avait congédié Amrak, pour lui éviter de rester dans cet endroit, et le temps fut long seul à attendre, mais une infirmière arriva en souriant et d'une voix douce il expliqua qu'il allait mourir. Karma resta de marbre, il ne craignait pas la mort comme tout ninja, mais il ne pensait pas mourir si tôt, puis l'infirmière déçut de la réaction lui avoua qu'elle rigolait, puis elle lui déballa toute sa vie, et patati et patata, il apprit donc que c'était sa première journée en apprentissage, c'est pour sa qu'elle déballait des conneries à tout les patients.
*Waouh on me confie entre de bonne main à ce que je vois... J'aurais préféré mourir que l'écouter.*
Il du donc ce lever, pour suivre l'infirmière qui s'appelait Shikyo ( = mort.), elle a 19 ans, pas de petit amie, un chien et deux chats, vie toujours chez ses parents, déteste son frère, et son voisin, aime faire peur aux gens ...( j'abrège sinon ZZZzzz)
Karma était sur le point de craquer, il était là pour être soigner pas pour écouter une infirmière lui parler de la pluie et du beau temps.
*Dire qu'on dit que les médecins et tout sa son froid...*
Arrivé dans la chambre 333, il s'installa sur le lit, l'infirmière se rapprocha de lui, et lui tandis un dossier à remplir, ce qu'il fit, pendant se temps elle continuait de lui parler, bien qu'il ne l'écoutait pas mais acquiesçait quelques fois d'un hum s'en savoir à quoi il répondait.
Un peu plus tard un médecin arriva, et Shikyo parti, enfin débarrassé, mais le médecin avait une drôle de...carrure pour son métier. Il était très grand, et aussi super costaud, sa blouse était déchirée laissant voir ses abdos et tout ses muscles au dessus de la taille, il portait des lunettes de soleil aussi. Mais au moins celui la ne disait pas grand chose, a par qu'il allait faire tout son possible pour le soigner, ce qu'il fit d'ailleurs.
Karma se sentie au contact du chakra sur sa peau, un bien être intense, le silence bien que perturbé par quelque crie, la lumière du soleil qui filtrait à travers les vitres réchauffait les coeurs, et sa douleur disparaissait. Sans s'en rendre compte il s'endormit, et ne se réveilla que le lendemain soir (c’est passer vite, mais bon...).
Il était seul dans la chambre, tranquille, il regarda donc ses anciennes blessures et s'aperçut qu'elles avaient disparut. Il entreprit alors de sortir, il remit ses affaires, et lorsqu'il alla ouvrir la porte, cette dernière s'écrasa sur lui, le bloquant contre le mur, Shikyo entra et chercha du regard le shinobi.
Shikyo: "Mince, il est passé ou?"
C'est un gémissement de Karma qui lui révéla sa position, elle rabattit la porte et le découvrit le nez en sang. Si se n'avait été une infirmière, elle aurait eu un trou dans la gorge, elle l'aida à s'asseoir et le sermonna, sur le fait qu'il ne faut pas rester derrière les portes car c'est dangereux.
Après cela elle lui tendit d'autre papier, qu'il du signer, signalant qu'il sortait de l'hôpital, elle lui donna ensuite une boite de médicament à prendre un matin et un le soir pendant deux jours, deux jours pendant le quel ses capacités seront diminué.
Il sorti donc, et dégusta avec plaisir le vent sur sa peau, l'air libre il n'y a que sa de vrai, les piaillements des oiseaux remplaçaient les cries des malades et blessé, l'odeur des magasins prit la place de celle de l'hôpital, et le décor d'oto à la place des chambres blanches.
Il parti après une bonne dizaine de minutes immobile, pour aller chez lui retrouver Amrak, la seul compagnie appréciable.